Dernancourt

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Dernancourt
Dernancourt
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC du Pays du Coquelicot
Maire
Mandat
Sylvain Lequeux
2020-2026
Code postal 80300
Code commune 80238
Démographie
Gentilé Dernancourtois
Population
municipale
534 hab. (2021 en augmentation de 5,95 % par rapport à 2015)
Densité 81 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 58′ 29″ nord, 2° 37′ 54″ est
Altitude Min. 39 m
Max. 107 m
Superficie 6,63 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Albert
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Dernancourt
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Dernancourt
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Dernancourt
Liens
Site web http://dernancourt.free.fr/

Dernancourt est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Les habitants de Dernancourt se nomment les Dernancourtois et les Dernancourtoises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Une entrée du village.

Localisation[modifier | modifier le code]

Cette commune est voisine du chef de lieu de canton, Albert. Elle est située sur une petite colline dominant l'Ancre.

Cliquer sur la carte pour agrandir.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Dernancourt
Millencourt Albert
Buire-sur-l'Ancre Dernancourt Méaulte
Ville-sur-Ancre

Nature du sol et du sous-sol[modifier | modifier le code]

Le sol de la commune est tourbeux dans le fond de la vallée, composé de terres franches le long de la vallée; les coteaux étant calcaires ou siliceux[2].

Relief, paysage, végétation[modifier | modifier le code]

Les coteaux à pente douce limitent au nord-ouest la vallée. Ils partagent le territoire communal en deux plaines à peu près égales. Un léger vallon est situé plus au nord[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par l'Ancre.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 660 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Méaulte à 2 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records MEAULTE (80) - alt : 107m, lat : 49°58'18"N, lon : 2°42'13"E
Records établis sur la période du 01-01-1988 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 1,2 3,3 5,1 8,2 11 12,9 13 10,5 7,6 4,3 1,8 6,7
Température moyenne (°C) 3,6 4,2 7,2 9,9 13,2 16,1 18,3 18,5 15,2 11,2 7 4,1 10,7
Température maximale moyenne (°C) 6 7,1 11,1 14,7 18,2 21,2 23,6 23,9 20 14,9 9,7 6,4 14,7
Record de froid (°C)
date du record
−13,7
17.01.13
−13
07.02.1991
−9,1
13.03.13
−4,7
07.04.21
−1,6
07.05.1997
1,4
05.06.1991
4,8
04.07.1990
5,7
24.08.1993
2,1
30.09.18
−4,3
29.10.03
−8,5
24.11.1998
−13,6
18.12.10
−13,7
2013
Record de chaleur (°C)
date du record
14,8
09.01.15
18,5
26.02.19
23,1
31.03.21
26,6
29.04.10
30,3
27.05.05
34,1
18.06.22
40,8
25.07.19
38,2
06.08.03
34
15.09.20
28
01.10.11
19,8
06.11.18
15,8
30.12.22
40,8
2019
Précipitations (mm) 61,2 49,9 53,5 43,3 58,7 56,7 60,7 64,7 55,9 69,6 72,1 84 730,3
Source : « Fiche 80523001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Dernancourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,8 %), zones urbanisées (6,3 %), prairies (4,4 %), zones humides intérieures (3,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat[modifier | modifier le code]

La commune de Dernancourt a un habitat groupé.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France (ligne no 37)[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Dernencurt en 1184 ; Dernencort en 1190 ; Derinencourt en 1301 ; Darnancourt en 1567 ; Denencourt en 1579 ; Dernecourt en 1638 ; Demencourt en 1648 ; Dernencourt en 1710 ; Dernancourt en 1733 ; Drencourt en 1787[16].

Le nom Dernancourt est de formation médiévale. Le suffixe -court (issu du bas latin cortem), signifiant « domaine rural ». Le préfixe Dernen ou Dernan serait un nom de personne d'origine germanique, propriétaire du lieu[17].[source insuffisante]

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Il n'y a pas trace écrite de l’existence du village de Dernancourt avant 1287. À cette date, Henri de Dernencourt, confirmait la donation aux templiers de Belle-Église par Robert Waubert, bourgeois de Corbie, de plusieurs terres[18],[19].

Le , par lettres de franchises, les habitants de Dernancourt étaient exemptés de péage pour eux-mêmes et leurs marchandises dans la traversée du village[18].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Au XVIIe siècle, le village subit les exactions de la soldatesque pendant la guerre de Trente Ans et la guerre franco-espagnole.

Entre 1729 et 1733, le clocher de l'église fut reconstruit. La reconstruction de l'église elle-même fut achevée en 1766[20].

Avant la Révolution française, le village de Dernancourt comptait 82 maisons[2].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Situé à l'arrière immédiat du front de l'automne 1914 à mars 1918, Dernancourt devint un lieu de séjour pour les soldats britanniques et australiens au repos. Les soldats australiens participèrent aux travaux agricoles, soulageant la population restée au village.

En mars 1918, la situation changea. Dernancourt fut atteint par les troupes allemandes au cours l'Opération Michael, phase principale de leur dernière offensive, la bataille du Kaiser, le . Les 4e et 3e divisions australiennes stoppèrent leur avance à Dernancourt au cours d'une bataille où les combats de rue s'effectuèrent à la baïonnette, le [21]. L'armée allemande ne put poursuivre sa marche vers Amiens.

Le village fut libéré par les 12e et 33e divisions américaines, le 9 août 1918[22].

Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

La commune a été totalement ravagée pendant la Grande Guerre. Le village a été reconstruit pendant l'entre-deux-guerres. En 1920, Dernancourt fut reconnu filleul de l'Australie méridionale et les dons en argent et en vêtements affluèrent d'Australie. Un quartier de la ville d’Adélaïde, capitale de l'Australie méridionale prit le nom de Dernancourt. En 1921, une fête fut organisée à Dernancourt pour remercier les Australiens de l'aide apportée pour la reconstruction[23].

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, un sabotage de la voie ferrée Amiens - Lille eut lieu sur le territoire de la commune.

Début XXIe siècle, l'affaire de la rue Pétain[modifier | modifier le code]

La municipalité a été soumise pendant des années à des critiques vives pour avoir conservé une rue au nom de Philippe Pétain, qu'elle maintenait malgré les protestations. Ce fut l'un des rares cas en France de rue dénommée ainsi avant la Seconde Guerre mondiale, à ne pas avoir été débaptisée à la Libération[24].

En janvier 2005, au moment où l'Europe entière commémorait le 60e anniversaire de la libération des camps d'Auschwitz, la presse locale et nationale dénonçait le fait que la commune de Dernancourt possédait encore une « rue du Maréchal-Pétain »[25],[26]. La polémique prit de l'ampleur devant l'inertie de la municipalité[27].

Ce n'est que le , après plus de cinq ans de réflexion, que le conseil municipal, à la demande de la préfecture de la Somme, débaptisait la « rue du Maréchal-Pétain »[Note 3] et la renommait : « rue du 5-Avril-1918 - Bataille-de-Dernancourt »[Note 4].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la communauté de communes du Pays du Coquelicot.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Jean-Pierre Lequeux    
mars 2008[28] 2014 Lionel Lamotte    
2014 En cours
(au 28 mai 2020)
Sylvain Lequeux   Réélu pour le mandat 2020-2026[29]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants s'appellent des Dernancourtois(es)[30].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

En 2021, la commune comptait 534 habitants[Note 5], en augmentation de 5,95 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
445427414539570553562556544
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
503505478432401370395373350
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
357326336213285323327330327
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
305345401501472437442442534
2021 - - - - - - - -
534--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Activités économiques et de services[modifier | modifier le code]

L'activité dominante de la commune reste l'agriculture.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le pavillon Adélaïde : il fut construit grâce à la somme collectée lors d’une soirée de gala organisée par Berthe Mouchette, veuve d’un soldat australien. Prévu au départ, pour un centre médical pour nourrissons, il est devenu une salle des fêtes puis fut intégré à l’école communale[36].
  • Le cimetière militaire britannique: mitoyen du cimetière communal, il contient 2 131 tombes de soldats du Commonwealth.
  • Le monument aux morts : inauguré en 1928, il est l’œuvre de l'architecte Henry Faucheur et du mosaïste-verrier Louis Barillet. Il se présente sous la forme d'un mur de pierre calcaire décoré d'une mosaïque qui représente dans sa partie haute, une allégorie de la victoire : une femme ailée, la tête auréolée de la croix de guerre, tient dans chaque main une couronne mortuaire. À l'arrière plan, des formes triangulaires noires semblent symboliser le village en ruines. Au centre, dans un rectangle tapissé de mosaïque jaune, est inscrit cette dédicace : « A nos morts » avec de chaque côté et en dessous la liste des victimes civiles et militaires. Ce monument est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel depuis le 2 juin 1997[37].
  • La rue du 5-Avril-1918 - Bataille-de-Dernancourt (ancienne rue du Maréchal-Pétain)

Traditions populaires[modifier | modifier le code]

Le village a sauvegardé des traditions locales :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

On peut noter que la bataille de Dernancourt a donné lieu à plusieurs reconnaissances honorifiques par des distinctions militaires accordées notamment à des soldats alliés britanniques et australiens[21].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason à dessiner Blason
Coupé ondé: au 1er parti au I d'or à la locomotive à vapeur sur ses rails alésés, le tout de sable, au II de gueules au kangourou et son petit dans sa poche d'or, au 2e de sinople à sept épis de blé empoignés en éventail d'or et liés de gueules; à la burelle ondée d'azur brochant sur la partition[39].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne ou recherche sur les villes, bourgs et hameaux qui le composent, 1844 ; réédition Paris, Rassorts Lorisse, 1999 (ISBN 2-87760-937-5)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Pétain fut condamné à mort et à l'indignité nationale par la Haute Cour de Justice, le 15 août 1945.
  4. Attention, sur Google Maps au 15 avril 2017, on trouve encore la rue du Maréchal Pétain. Au 15 avril 2017, d'autres sites de géolocalisation (Mappy, ViaMichelin,..) indiquent également des odonymes erronés
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « DERNANCOURT - Carte plan hotel village de Dernancourt 80300 - Cartes France.fr », sur cartesfrance.fr (consulté le ).
  2. a b et c Notice géographique et historique sur la commune de Dernancourt, rédigée par M. Acloque, instituteur, 1899, Archives départementales de la Somme
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Dernancourt et Méaulte », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  16. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 289 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  17. Site officiel de la commune, « Dernancourt » (consulté le ).
  18. a et b Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne ou recherche sur les villes, bourgs et hameaux qui le composent, 1844, réédition Paris, Rassorts Lorisse, 1999, p. 100 (ISBN 2 - 87 760 - 937 - 5).
  19. Site communal, archives de l'église.
  20. Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne ou recherche sur les villes, bourgs et hameaux qui le composent, 1844, réédition Paris, Rassorts Lorisse, 1999, p. 99 (ISBN 2 - 87 760 - 937 - 5).
  21. a et b (en) « Official History of Australia in the War of 1914–1918 - Volume V – The Australian Imperial Force in France during the Main German Offensive, 1918 (8th edition, 1941) - CHAPTER XII THE BATTLE OF DERNANCOURT », sur Australian War Memorial, (consulté le ).
  22. Malcolm G Wright, « La bataille de Dernancourt - Avril 1918 », sur dernancourt.free.fr, (consulté le ).
  23. Panneau d'informations communal
  24. http://www.liberation.fr/societe/0101530775-rue-petain-derriere-l-eglise-a-dernancourt Rue Pétain, derrière l'église, à Dernancourt, Libération.fr, 28 mai 2005
  25. Le Courrier picard des 21 et 26 janvier 2005.
  26. Le Monde du 28 janvier 2005.
  27. Libération des 28-29 mai 2005, Le Courrier picard du 23 juillet 2005, Libération du 27 juillet 2005, Le Courrier picard des 26 octobre et 10 novembre 2005.
  28. « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  29. « Un deuxième mandat pour Sylvain Lequeux à Dernancourt », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. habitants.fr, « Somme > Dernancourt (80300) » (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. clochers.org, « Église Saint-Léger » (consulté le ).
  36. « Dernancourt et le quartier Adélaïde », sur ac-amiens.fr (consulté le ).
  37. « Ministère de la Culture - Maintenance », sur www2.culture.gouv.fr (consulté le ).
  38. Site communal.
  39. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.